UNE SIRÈNE DANS L’OCÉAN DE LA POP MUSIC
Quand les requins s'attaquent à la marchandisation de la musique
Création coproduite par Coin Coin Productions (69) et l'Ardeur - Association d'éducation populaire politique (22)
EN TOURNÉE 2025-2026
Hissez les voiles et prenez le large ! Voguez sur les eaux troubles et tumultueuses de l'industrie musicale. Plongez dans les abysses de la pop music et laissez-vous guider par le chant d’une sirène intrépide qui navigue à contre-courant sur les flots démontés d’une diversité culturelle en sursis.
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Une bouffée d’air frais et une source d'inspiration pour toutes celles et ceux qui rêvent d'une culture plurielle, libre et vivante
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Avec cette conférence gesticulée, on comprend mieux ce qu’est la vie d’une entrepreneuse culturelle en lutte pour un monde plus juste
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Quoi ?
Grâce à ses palmes phosphorescentes, la sirène guide les artistes naufragés, tourbillonne dans les nouveaux courants et cartographie les écueils sur les parcours de Diams, Amy Winehouse, Britney Spears, Soprano, Casey, Mozart, l'Orchestre National de Barbes ou encore Rachid Taha.
Que vous soyez mélomane passionné ou novice curieux, la conférence gesticulée de Sarah Battegay met le cap sur la manière dont le marché de l’industrie culturelle fabrique nos goûts et nos perceptions, proposant ainsi un éclairage stimulant sur nos identités et nos préférences culturelles.
"Une sirène dans l’océan de la pop music" est une réflexion politique sur les sabordages qui sont à l’œuvre dans les mondes professionnels de la musique.
Tout cela finira-t-il en queue de poisson ?!
Qui ?
Sarah Battegay, la sirène
LA RENCONTRE
Lorsque les moments de doutes se répètent et finissent par altérer les supports émotionnels, il est temps de passer à l'action. C'est ce que j'ai fait !
Quand j'ai commencé à travailler dans l'univers de la culture, j'avais 18 ans. C'est jeune. Et, croyez-moi, il n'y a pas de quoi fanfaronner... Car dès le début, j'avais de multiples responsabilités, dont la gestion de salarié-e-s et une importante charge administrative. Je me suis arrêtée au baccalauréat et j'ai toujours sentie une sorte d'illégitimité à être là où j'étais. Je me suis souvent sentie isolée dans ma manière d’exercer ma profession (comme d'autres sans doute) et mal comprise dans mes implications militantes, que j'essaie toujours de partager. Comment retrouver du sens, mieux se comprendre, améliorer la qualité du message à transmettre ?
Alors, je me suis dit : soit je reprends des études, soit je m'inscris à un stage de conférence gesticulée encadré par l'Ardeur. Ce que j'ai appris dans cette formation est inestimable et me permet aujourd'hui de continuer un chemin de connaissance de soi qui réconcilie le sensible et l'intelligible, le moi et le monde.
Sarah Battegay